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Agnes Odhiambo. © 2015 Lauren Toub/Human Rights Watch.

(Nairobi) – C’est avec une profonde tristesse que Human Rights Watch a annoncé le décès d’Agnes Odhiambo, , chercheuse senior auprès de la division Droits des femmes. Agnes Odhiambo avait consacré sa carrière à contribuer à améliorer les perspectives d’avenir pour les femmes et les filles en Afrique subsaharienne. Elle était une collègue appréciée pour sa créativité, son approche réfléchie et stratégique, ainsi que pour ses puissantes activités de plaidoyer, fondées sur des principes solides.

« Agnes comprenait le concept d'impact mieux que quiconque », a déclaré Tirana Hassan, directrice exécutive de Human Rights Watch. « Elle se concentrait sans relâche sur l’amélioration des vies, et l’élimination de barrières. Qu’il s’agisse de promouvoir l’éducation des filles enceintes en Tanzanie, de lutter contre le mariage des enfants au Malawi ou de soutenir les survivantes de trafic sexuel au Nigeria, Agnes œuvrait constamment pour apporter des changements, même lorsque d’autres avaient abandonné la lutte. Son travail a sans aucun doute contribué à améliorer les conditions de vie et les perspectives d’avenir d’innombrables femmes et filles. »

Agnes Odhiambo a rejoint Human Rights Watch en 2009, en tant que chercheuse enquêtant sur les violations des droits des femmes en Afrique. Parmi d’autre travaux effectués au sein de l’organisation, elle a documenté le sort des femmes souffrant de fistules obstétricales au Kenya, levé le voile sur les lacunes de soins de maternité en Afrique du Sud, et exposé les séquelles physiques et psychologiques affectant les survivantes de viols commis lors des violences post-électorales au Kenya.

Texte complet en anglais : en ligne ici.

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